5 juillet 2004
La théorie du miqué
C'est mon oncle qui me l'a apprise, celle-là. Il l'a développée en
faisant des observations dans son boulot. Tout d'abord, définition du
miqué : c'est un objet/service/autre dont l'utilité n'existe pas pour
la survie de l'humanité. En gros, c'est tout ce qui n'est pas
indispensable pour vivre. On ôte cependant l'art du miqué (mais bon, la
quantité d'art est tellement négligeable par rapport au reste que ça
change pas grand chose.)
Et bien voilà, l'industrie du miqué représente au moins 80% du marché. Au moins, sans doute plus. Le reste, c'est quoi ? Les producteurs de bouffe (hors plats préparés et/ou ultra transformés comme les gâteaux et les glaces), les fabriquants de médicaments (hors médicaments de confort tel le viagra) et les fabriquants de tissus de base (pur se faire quelques fringues de base, sans fioriture.) A la rigueur, quelques industries dans l'hygiène (savon de base, lessu=ive de base,...) mais on s'arrête là.
Tout le reste est dans le miqué, ce ne sont que fioritures, luxes et inutilités. Le cinéma, la musique "populaire", l'électronique, les fringues de marque, les véhicules (on a des pieds, bordel!), les décorateurs d'intérieur, Ikéa, et caetera, et caetera.
Et c'est cette industrie qui produit le plus de déchets (grosse boite pour un téléphone minuscule, plastiques divers, tissus gaspillés, etc.) Tout ça pour consommer. Vivement que l'industrie du miqué se casse la gueule, tiens. nan, je plaisante, mais il faudrait au moins qu'elle se responsabilise et qu'on arrête de faire l'apologie de la croissance pour son unique bénéfice.
Et bien voilà, l'industrie du miqué représente au moins 80% du marché. Au moins, sans doute plus. Le reste, c'est quoi ? Les producteurs de bouffe (hors plats préparés et/ou ultra transformés comme les gâteaux et les glaces), les fabriquants de médicaments (hors médicaments de confort tel le viagra) et les fabriquants de tissus de base (pur se faire quelques fringues de base, sans fioriture.) A la rigueur, quelques industries dans l'hygiène (savon de base, lessu=ive de base,...) mais on s'arrête là.
Tout le reste est dans le miqué, ce ne sont que fioritures, luxes et inutilités. Le cinéma, la musique "populaire", l'électronique, les fringues de marque, les véhicules (on a des pieds, bordel!), les décorateurs d'intérieur, Ikéa, et caetera, et caetera.
Et c'est cette industrie qui produit le plus de déchets (grosse boite pour un téléphone minuscule, plastiques divers, tissus gaspillés, etc.) Tout ça pour consommer. Vivement que l'industrie du miqué se casse la gueule, tiens. nan, je plaisante, mais il faudrait au moins qu'elle se responsabilise et qu'on arrête de faire l'apologie de la croissance pour son unique bénéfice.
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