6 mars 2004
Catégories de blog?
J'ai vu qu'ils avaient activé les catégories de blog. Comme vous
l'aurez remarqué, je suis inclassable. J'aurais pourtant bien aimé une
classe style "à part", ou "trop bizarre", ou alors "subversif". Mais le
pied, ç'aurait été de pouvoir satisfaire mon égo avec une classe
"cynique". J'ai donc regardé les autres classes possibles, et vraiment
aucune ne me convenait. J'ai fait des trucs qui aurait pu être dans
plusieurs classes, mais c'est jamais spécifique.
J'ai surtout remarqué des catégories improbables pour moi. J'ai donc décidé que je ferais un sujet par catégorie. A vous de deviner de laquelle qu'il s'agit. Je commence.
En entrant dans le train, Gina ne se doutait pas de ce qui l'attendrait. Elle venait à peine de se remettre de sa séparation d'avec Fabio, et allait passer le week-end chez sa mère pour l'oublier. Elle trouva un compartiment vide, et s'y installa. Perdue dans ses pensées, elle ne remarqua pas tout de suite l'homme qi y rentra et qui s'assit en face d'elle. C'était un grand homme aux cheveux bruns, rasé de près, vétu d'une chemise blanche et d'un pantalon en velours. Il portait des lunettes de soleil qui empêchaient de savoir où se portait son regard.
Le train démarra, ce qui tira Gina de ses rêveries. Elle remarqua alors cet homme, et sentit que quelque chose en elle se déclenchait. Elle pouvait sentir son odeur masculine mais pas trop forte, elle percevait sa sourde respiration, elle ne pouvait s'empêcher de regarder sa bouche qui arborait un sourire ravageur. petit à petit, elle sentit son âme se diluer dans ces lèvres. Il lui sembla que l'homme le remarqua, car il se mit à sourire de plus belle.
Gina se demanda alors à quoi pouvait penser cet homme. Etait-il en train de la déshabiller du regard? Appréciait-il ses formes voluptueuses? Gina n'avait jamais été maigre, elle avait toujours eu des formes généreuses, et ça avait finit par lui jouer des tours dans cet univers dominé par la mode des lolitas, des femmes-enfants. Mais elle sentait que l'homme la trouvait séduisante. A vrai dire, elle avait besoin de se sentir aimée, désirée. Elle n'était pas nymphomane, mais elle avit remarqué que le sexe permettait souvent de décupler ses sentiments pour son partenaire, et c'était encore plus jouissif qu'un orgasme.
Soudain, l'homme enleva ses lunettes, elle pu enfin voir ses yeux. c'était des yeux bleus si profond qu'on pouvait s'y noyer. Elle savait dès ce moment qu'elle était vulnérable, qu'elle ne pourrait pas ésister à cet homme. A ce moment là, elle avait déjà oublié l'existence de Fabio. Puis l'homme se mit à parler.
"Pardons, mademoiselle, vous allez jusqu'à Nice?" La ficelle était grosse, mais Gina ne la vit pas, elle était littéralement subjuguée par cette fois, suave, sensuelles, chaude. Une voix qui pourrait lui ordonner ce qu'elle voulait.
"Oui, répondit-elle, je vais voir de la famille." L'homme la dévisagea longuemment.
"Ce sera un plaisir de voyager avec un ange tel que vous" ajouta-t-il. Un ange! C'est la première fois que l'on donnait un tel qualificatif à Gina.
"Merci, je m'appelle Gina.
- Antonio, je me rend moi-même chez ma soeur. Elle vient d'avoir des jumeaux. J'ai hâte de les voirs, j'adore les enfants. Vous en avez?
- Euh, non. Mon ancien compagnon ne les aimait pas.
- Quel dommage, vous en donneriez de magnifiques.
-Merci, et vous, est-ce que v" mais elle n'eu pas le temps de finir sa phrase. La locomotive explosa, et le train dérailla, faisant 235 morts et plusieurs blessés graves. le lendemain, tous les journaux titraient:
"LE GROUPE AZF A MIS SES MENACES A EXECUTION : UN TRAIN A EXPLOSE ENTRE LYON ET NICE!"
Un peu brutal, non? C'est que c'est le genre de texte que je trouve chiant à écrire, alors faut pas qu'il dure trop longtemps. Qui donc va trouver la catégorie de ce texte (malgrès la fin)?
J'ai surtout remarqué des catégories improbables pour moi. J'ai donc décidé que je ferais un sujet par catégorie. A vous de deviner de laquelle qu'il s'agit. Je commence.
En entrant dans le train, Gina ne se doutait pas de ce qui l'attendrait. Elle venait à peine de se remettre de sa séparation d'avec Fabio, et allait passer le week-end chez sa mère pour l'oublier. Elle trouva un compartiment vide, et s'y installa. Perdue dans ses pensées, elle ne remarqua pas tout de suite l'homme qi y rentra et qui s'assit en face d'elle. C'était un grand homme aux cheveux bruns, rasé de près, vétu d'une chemise blanche et d'un pantalon en velours. Il portait des lunettes de soleil qui empêchaient de savoir où se portait son regard.
Le train démarra, ce qui tira Gina de ses rêveries. Elle remarqua alors cet homme, et sentit que quelque chose en elle se déclenchait. Elle pouvait sentir son odeur masculine mais pas trop forte, elle percevait sa sourde respiration, elle ne pouvait s'empêcher de regarder sa bouche qui arborait un sourire ravageur. petit à petit, elle sentit son âme se diluer dans ces lèvres. Il lui sembla que l'homme le remarqua, car il se mit à sourire de plus belle.
Gina se demanda alors à quoi pouvait penser cet homme. Etait-il en train de la déshabiller du regard? Appréciait-il ses formes voluptueuses? Gina n'avait jamais été maigre, elle avait toujours eu des formes généreuses, et ça avait finit par lui jouer des tours dans cet univers dominé par la mode des lolitas, des femmes-enfants. Mais elle sentait que l'homme la trouvait séduisante. A vrai dire, elle avait besoin de se sentir aimée, désirée. Elle n'était pas nymphomane, mais elle avit remarqué que le sexe permettait souvent de décupler ses sentiments pour son partenaire, et c'était encore plus jouissif qu'un orgasme.
Soudain, l'homme enleva ses lunettes, elle pu enfin voir ses yeux. c'était des yeux bleus si profond qu'on pouvait s'y noyer. Elle savait dès ce moment qu'elle était vulnérable, qu'elle ne pourrait pas ésister à cet homme. A ce moment là, elle avait déjà oublié l'existence de Fabio. Puis l'homme se mit à parler.
"Pardons, mademoiselle, vous allez jusqu'à Nice?" La ficelle était grosse, mais Gina ne la vit pas, elle était littéralement subjuguée par cette fois, suave, sensuelles, chaude. Une voix qui pourrait lui ordonner ce qu'elle voulait.
"Oui, répondit-elle, je vais voir de la famille." L'homme la dévisagea longuemment.
"Ce sera un plaisir de voyager avec un ange tel que vous" ajouta-t-il. Un ange! C'est la première fois que l'on donnait un tel qualificatif à Gina.
"Merci, je m'appelle Gina.
- Antonio, je me rend moi-même chez ma soeur. Elle vient d'avoir des jumeaux. J'ai hâte de les voirs, j'adore les enfants. Vous en avez?
- Euh, non. Mon ancien compagnon ne les aimait pas.
- Quel dommage, vous en donneriez de magnifiques.
-Merci, et vous, est-ce que v" mais elle n'eu pas le temps de finir sa phrase. La locomotive explosa, et le train dérailla, faisant 235 morts et plusieurs blessés graves. le lendemain, tous les journaux titraient:
"LE GROUPE AZF A MIS SES MENACES A EXECUTION : UN TRAIN A EXPLOSE ENTRE LYON ET NICE!"
Un peu brutal, non? C'est que c'est le genre de texte que je trouve chiant à écrire, alors faut pas qu'il dure trop longtemps. Qui donc va trouver la catégorie de ce texte (malgrès la fin)?
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