3 mars 2005
Les limites de l'humour avec certaines personnes.
Je sais, le titre est un peu long, mais c'est pas
grave, c'est comme ça. Ce point étant passé, on va pouvoir attaquer le
sujet. Non, je ne parlerai pas de Dieudonné, mais plutôt de moi, pour
une fois. J'avais été invité par lui à mettre quelques chroniques là. Habitant à la campagne, j'avais décidé d'axer ces chroniques sur des termes ruraux (sans rouler les r, merci.)
Bref, c'était y'a neuf mois environ, j'ai rien remis depuis ayant assez de mal avec mes blogs. D'ailleurs je suis le dernier à avoir publier une chronique là-bas. Bref, j'avais oublié le truc, mais deux personnes sont venues me rappeler ce que j'avais "commis". Et elles n'étaient pas contentes.
Pour résumer, c'est la dernière chronique qui les a vexé. Celle où je dénigre les tracteurs. Pas ceux qui les utilisent, pas le monde des agriculteurs, pas un mode de vie, mais un objet. Que, oui, je trouve laid et pollueur, mais il a pas non plus été créé pour aller frimer à la sortie des boîtes. Bref, ces deux personnes sont venues, l'une hier et l'autre tout à l'heure, me contacter sur aimaissaine afin de me demander pourquoi je n'aimai pas ça. En fait, elles pensaient que je m'attaquais aux agriculteurs, que je les prenais pour des bouseux et que j'étais contre la campagne. Un comble pour quelqu'un qui vit entre deux terrains de vignes et un pré à moutons.
Dans cette chronique, je me suis contenté d'exposer des faits, du vécu, même pas d'opinion. Il n'y a que la dernière phrase qui pourrait porter à caution, si on la prenait au premier degré, celle où je disais que "Je vais aller klaxonner chez eux quand je rentre de soirée à 2h du mat, on va voir si ils vont apprécie." Il est bien entendu que j'adore me lever à deux heures du mat' pour prendre ma voiture et aller klaxonner devant toutes les exploitations agricoles. Alors, si un agriculteur ou un autre utilisateur de tracteur va lire cette chronique, par pitié, qu'il sache lire entre les lignes et reconnaître quand on parle sérieusement ou qu'on déconne.
Bref, c'était y'a neuf mois environ, j'ai rien remis depuis ayant assez de mal avec mes blogs. D'ailleurs je suis le dernier à avoir publier une chronique là-bas. Bref, j'avais oublié le truc, mais deux personnes sont venues me rappeler ce que j'avais "commis". Et elles n'étaient pas contentes.
Pour résumer, c'est la dernière chronique qui les a vexé. Celle où je dénigre les tracteurs. Pas ceux qui les utilisent, pas le monde des agriculteurs, pas un mode de vie, mais un objet. Que, oui, je trouve laid et pollueur, mais il a pas non plus été créé pour aller frimer à la sortie des boîtes. Bref, ces deux personnes sont venues, l'une hier et l'autre tout à l'heure, me contacter sur aimaissaine afin de me demander pourquoi je n'aimai pas ça. En fait, elles pensaient que je m'attaquais aux agriculteurs, que je les prenais pour des bouseux et que j'étais contre la campagne. Un comble pour quelqu'un qui vit entre deux terrains de vignes et un pré à moutons.
Dans cette chronique, je me suis contenté d'exposer des faits, du vécu, même pas d'opinion. Il n'y a que la dernière phrase qui pourrait porter à caution, si on la prenait au premier degré, celle où je disais que "Je vais aller klaxonner chez eux quand je rentre de soirée à 2h du mat, on va voir si ils vont apprécie." Il est bien entendu que j'adore me lever à deux heures du mat' pour prendre ma voiture et aller klaxonner devant toutes les exploitations agricoles. Alors, si un agriculteur ou un autre utilisateur de tracteur va lire cette chronique, par pitié, qu'il sache lire entre les lignes et reconnaître quand on parle sérieusement ou qu'on déconne.
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