31 décembre 2004
Petit conte de fin d'année.
Le conte d'Alexandraillon.
Il était une fois, une jeune fille qui s'appelait Alexandra. Malheureusement, son père mourrut la laissant seule avec sa cruelle belle-mère et sa méchante demi-soeur.
Elles la surnommèrent Alexandraillon, et lui demandèrent d'effectuer toutes les tâches ménagères et de se mettre à leur entière disposition.
Alors elle partit.
"Empaquette tous tes soucis dans un vieux sac de toile et smile, smile, smile !" chantait-elle sur la route.
Et, pendant des jours, Alexandraillon erra dans les rues et sur les chemins du royaume.
Elle était fatiguée, affamée et sentait bizarrement.
"Snif ? Snif ? Beuuuuuurk !"
Elle pleurnichait :
"Aidez-moi ! S'il vous plait ! Que quelqu'un m'aide à me libérer de cette injustice !"
Alors la Bonne Fée apparut devant elle, brillante et magnifique.
"Oh, super. maintenant, j'ai une hallucination."
"Non, tu ne rêves pas, je suis ta Marraine Fée.", lui dit la fée, "Je peux exaucer n'importe quel voeux que tu désires. Laisse-moi deviner... tu veux aller au Grand Bal. Toutes les jeunes filles du royaume veulent y aller."
"Mmmh, c'est tentant. Mais en fait, ce que je voudrais vraiment c'est une bonne grosse pizza au bleu ! Oh ! Oh ! Attendez ! Un bain chaud ! Non ! Un lit doux et chaud !"
"Tu es certaine que tu ne veux pas aller au Grand Bal ?", lui demanda la fée, "Je peux te faire une superbe robe à partir de haillons, transformer une citrouille en carosse, des souris en chevaux... et comme cerise sur le gâteau, une paire de chaussures en vair."
"Des chaussures en vair, hein ? Mmmmh..."
Les engrenages tournaient dans sa tête. Un plan commençait à se former...
"Je le savais ! Elles craquent toutes pour les chaussures en vair !"
"Oh, non. Je ne veux toujours pas aller au bal. Mais... bzz bzz bzz bzz bzz..."
Ainsi Alexandraillon eut son voeux. Les chaussures en vair devinrent très "fashion", et elle et sa Marraine Fée devinrent très riches.
Elle prit même pitié de sa belle-mère et sa demi-soeur. Les temps étaient durs pour elles, aussi Alexandraillon leur offrit un emploi...
... dans l'entretien des locaux, bien sûr.
Il était une fois, une jeune fille qui s'appelait Alexandra. Malheureusement, son père mourrut la laissant seule avec sa cruelle belle-mère et sa méchante demi-soeur.
Elles la surnommèrent Alexandraillon, et lui demandèrent d'effectuer toutes les tâches ménagères et de se mettre à leur entière disposition.
Alors elle partit.
"Empaquette tous tes soucis dans un vieux sac de toile et smile, smile, smile !" chantait-elle sur la route.
Et, pendant des jours, Alexandraillon erra dans les rues et sur les chemins du royaume.
Elle était fatiguée, affamée et sentait bizarrement.
"Snif ? Snif ? Beuuuuuurk !"
Elle pleurnichait :
"Aidez-moi ! S'il vous plait ! Que quelqu'un m'aide à me libérer de cette injustice !"
Alors la Bonne Fée apparut devant elle, brillante et magnifique.
"Oh, super. maintenant, j'ai une hallucination."
"Non, tu ne rêves pas, je suis ta Marraine Fée.", lui dit la fée, "Je peux exaucer n'importe quel voeux que tu désires. Laisse-moi deviner... tu veux aller au Grand Bal. Toutes les jeunes filles du royaume veulent y aller."
"Mmmh, c'est tentant. Mais en fait, ce que je voudrais vraiment c'est une bonne grosse pizza au bleu ! Oh ! Oh ! Attendez ! Un bain chaud ! Non ! Un lit doux et chaud !"
"Tu es certaine que tu ne veux pas aller au Grand Bal ?", lui demanda la fée, "Je peux te faire une superbe robe à partir de haillons, transformer une citrouille en carosse, des souris en chevaux... et comme cerise sur le gâteau, une paire de chaussures en vair."
"Des chaussures en vair, hein ? Mmmmh..."
Les engrenages tournaient dans sa tête. Un plan commençait à se former...
"Je le savais ! Elles craquent toutes pour les chaussures en vair !"
"Oh, non. Je ne veux toujours pas aller au bal. Mais... bzz bzz bzz bzz bzz..."
Ainsi Alexandraillon eut son voeux. Les chaussures en vair devinrent très "fashion", et elle et sa Marraine Fée devinrent très riches.
Elle prit même pitié de sa belle-mère et sa demi-soeur. Les temps étaient durs pour elles, aussi Alexandraillon leur offrit un emploi...
... dans l'entretien des locaux, bien sûr.
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